Lundi 14 janvier 2013
100 km, tout rond… Y compris un col de 11km aves 600 mètres de dénivelée…
Oui, je suis énervée d’avoir passé la journée à galérer sur mon vélo et quand je suis énervée, je trace, et en plus il n’y a pas de vent, je me rappelle la fois où je me suis arrêtée au goudron et que le lendemain j’ai dû pousser à cause du vent…
Je charge mon vélo sous les yeux ébahis des touristes qui attendent leur bus, et ça m’énerve un peu car je ne connais pas encore bien mon vélo ni les nouvelles sacoches, j’ai peur en partant de m’étaler… Il est moins de 8 heures, je pars…
Pour sortir d’El Calafate ça monte, je monte bien, je m’aperçois que le capteur n’est pas bien en place, je règle bien tout ça, adieu El Calafate, c’était un peu comme si j’étais retournée à la maison…
Encore un peu de vague à l’âme, Tres Lagos j’y ai été aussi, d’ailleurs c’est un drôle de nom, il n’y a pas un lac…
Ultime regard en arrière…
Et c’est parti pour au moins 400km de pampa… Pampa à droite…
Pampa à gauche…
Et au milieu la cyclo…
Un petit point googleearthien…
Un rio pour Monica (profite Monica, c’est le seul)(au passage si les cyclos sont coincés par le vent, c’est au kilomètre 40, il y a aussi une estancia)…
Dans l’après-midi je lutte contre le sommeil, c’est affreux, vous imaginez ma fin : « morte parce que s’est endormie au guidon de son vélo » je m’arrête, m’offre un bon goûter et c’est reparti…
Mon défi atteint, je plante ma tente, un vrai petit palais, malgré l’absence de vent, j’arrime bien le tout avec des pierres et les 4 tendeurs au vélo (et je fais bien car le vent va se lever…)
Les affres du jour :
Les bêtes piquantes profitent de l’absence du vent pour m’attaquer, elles sont pires qu’au Pérou, elles s’y mettent à plusieurs pour littéralement me labourer les doigts et venir me pomper le sang et franchement ça pique…
Je fais l’erreur de ne pas me découvrir, et dans la cuesta San Miguel (où je souffre un peu sur la fin, je reconnais, je fais l’erreur de ne pas changer mon pantalon noir contre le gris (impossible de rouler bras et jambes nues vu les bêtes) et je fais une réaction cutanée pas possible sur les cuisses.. .
Je ne sais pas où je vais traîner, mais ça c’est pire que les rapamoux, ça pique très fort et il faut les enlever un par un à la pince à épiler…
Quand même je suis contente…
Bisous tout le monde
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$nbjour2 Jours de vadrouille"; ?> Statistiques (il manque 6-7 étapes)
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Top 5 des villes des visiteurs
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