Bonjour à tous
En vérité vraie je me la coule douce en compagnie de Robin des bois, nous pédalons, prenons mille photos inutiles, regardons les étoiles, écoutons le vent, mangeons des pâtes, buvons de la cerveza et du vino, mangeons des chocolats, partons tard, arrivons à la nuit, et pédalons…
La route où je devais mourir tous les 100 mètres était quasi déserte…Grâce à mon baratin habituel nous avons pu bivouaquer sur les bords du lac de Bariloche, avec la protection de la police en plus…Ah oui je suis à Bariloche, la ville du chocolat… Vrai de vrai…
Ushuaïa se fait de plus en plus présent, même si encore loin… Les températures baissent, déjà quelques couleurs d’automne… Les gens en parlent, tous me conseillent… Un cyclo m’a beaucoup renseigné, il règne ici comme une atmosphère de camp de base, trop génial… J’ai trouvé une veste en duvet… Depuis deux jours le soleil est revenu, je continue à avoir ma crevaison journalière, encore un réparateur de vélo, j’espère le dernier…
Mon buen suerte ne cesse de m’amener dans des auberges de baroudeurs, là je viens de récupérer mille renseignements sur Ushuaïa et même une carte où les heures de marche à pied sont indiquées, si je rate le dernier bateau ça me ralonge de 50km mais il y a possibilité de passer sans prendre le pont d’Enzo, Enzo je compte quand même sur ton aide… J’espère surtout que tu es mort de rage à l’idée que j’ai eu la route pour moi toute seule, enfin moi, Robin et un ushuaiste (habitant d’Ushuaia, cyclo de surcroit…) et que j’ai pu bivouaquer sur les bords du lac…
Voilà, je continue ma route avec Robin jusqu’aux lacs d’Alerces, après son chemin l’amènera au Pérou… Ce soir nous avons fêté ses 200 premiers kilomètres et mon 1 an et deux mois de voyage…
Donc tout va bien, bisous à tous, pas d’article en ce moment, je ne peux tout faire…
J’oubliais le principal, trop beau par ici…
Rebisous
c’est drôle de te savoir accompagnée, toi qui as circulé, jusqu’ ici pratiquement toujours en solo !
la compagnie, c’est quand même agréable, quand les caractères et les objectifs se correspondent.
alors bonne continuation!
tu vas vers le froid, alors qu’ ici les temperatures printanières sont trés agréables.
bises;
Oui, c’etait super chouette, notre chemin commun s’arrete ici, mais le voyage continue, bisous
Coucou Françoise,
Un vrai bonheur de te lire, et de nous faire partager ces beaux moments.
Non, pas inutile les photos, on va en profiter plus tard.
Pour l’instant régale-toi de tout.
Bisous
Merci Monica, les photos viendront, oui pour l’inatant j’a profite, besos
Et moi je viens de fêter mon premier 4000 m avec du vin … argentin. Le vin nous rapproche par les pays
Tout se passe bien et j’avoue avoir moins de temps à te consacrer sur le blog. J’ai un courrier de ministre que veux-tu !
Bises à toi y suerte
Bravo monsieur le ministre y suerte, suerte y besos
Hola Chica,
Donc, maintenant que te voici entre de bonnes mains et de bonnes roues avec Robin, je te laisse juste ce petit commentaire pour t’indiquer que pour ne pas louper la route qui mène au Parc des Alerces, il faut savoir qu’il faut bifurquer sur la droite environ 5 ou 7 km après le croisement qui va vers Epuyen.
Le village d’Epuyen ne se trouve donc pas sur la Ruta 40 mais bien en contrebas de celle-ci. Il y a deux kilomètres de descente pour y accéder, mais ce n’est pas inintéressant de faire le crochet pour se ravitailler car après, les villages se font rares.
Donc, pour ne pas louper la route qui mène au Parc, ce n’est pas compliqué :
Après le croisement qui mène à Epuyen, tu fais environ 7 km et lorsque la route tourne de 90° vers la gauche, dans le tournant, tu as une route qui part vers la droite… c’est celle-là.
Si cela se trouve, 4 années après notre passage, il y a maintenant de grands panneaux qui indiquent le parc et la route est asphaltée.
Le Parc des Alerces est payant, mais, vu que les vacances sont terminées, il y a de fortes chances pour qu’il n’y ait pas de garde à l’entrée (essaye donc de te procurer une carte du Parc à El Bolson).
Il y a également de fortes chances que tous les campings (seuls lieux d’approvisionnement) soient fermés. Prévois donc que tu risques de passer 3 ou 4 jours sans approvisionnement.
A la sortie du Parc, va directement vers Trevelin, il y a toutes les mêmes commodités que tu peux trouver à Esquel.
Kissssssssssssssssssssssss !!!!!!!!!!!!!!!!
Coucou Enzo, notre chemin commun Robin et moi s’arrete ici, donc tes imdications me sont extremement precieuses, ce d’autant plus qu’au syndicat d’initiative ils n’avaient pas de cartes, voila, mon sort est entre tes mains, besossssssssss