J426 : arrivée à Bariloche, la ville du chocolat…

Mercredi 21 mars 2012

Bivouac sur les bords du lac de Bariloche – San Carlos de Bariloche

Kilométrage : 19,75 km
Vmoy : 9,9 km/h, Vmax : interférence électromagnétiques
Heures sur le vélo : 1h59’17″
Température 16° à 26°
Dénivelée : positif : 111m, négatif : 72m

Après un dernier adieu à notre bivouac

Un petit bonjour aux pêcheurs qui rejettent dans le lac tout ce qu’il pêchent…

Après un regard interrogatif sur le rio dans lequel se vide le lac, lequel rio envahit parait-il la plage en novembre et décembre…

Après un clin d’oeil complice aux sommets enneigés…

Après un passage à l’office du tourisme pour récupérer carte et adresse d’auberges de baroudeurs.
Après un demi-tour à la recherche de mon antenne qui me sert à communiquer avec les miens (les extra-terrestres), laquelle antenne est restée accrochée au grillage franchi hier…

Nour reprenons la route, elle borde ce somptueux lac et le fort vent de face ne ternit pas notre enthousiasme…

Petite étape mais on ne zappe pas Bariloche… Outre pour nous la nécessité de recharger les batteries (les corporelles et les de nos multiples petits appareils), et pour moi mon équipement à parfaire en vue d’affronter la carretera australe, une ultime tentative de réglage de vitesses, la recherche de la cause des multiples crevaisons …

Et Robin des bois, en plus de n’être pas un ange a d’autres qualités…

Outre tout ceci il y a la dégustation de la spécialité de Bariloche : des chocolats…

Des magasins entiers de chocolat…

En plus c’est Pâques, Pâques à l’automne, Noël en été, j’ai du mal quand même…

Pour se faire pardonner d’un des pêchés capitaux (la gourmandise) il y a les églises, petites…

Ou grandes…

Et puis à Bariloche il y a l’hosteria où nous allons aboutir, encore un truc de baroudeurs, un cyclotouriste-trekkeur va me passer la carte très précise du grand sud, les explications pour si je n’ai plus de bateau, depuis j’ai mieux… Suspens, suspens, moi je connais l’avenir, vous pas…

Cette hosteria qu’ils appellent aussi hôtels (demander una hospedaje economica con dormitorio) est dingue comme toutes celles que je vais rencontrer en Argentine… Ce pays me plait vraiment et la Patagonie argentine n’a pas fini de m’éblouir et de m’étonner…

Ici l’ambiance est très chaleureuse…

On peut cuisiner

Pratiquer son sport favori…

Faire sa lessive, à condition d’être géant pour la pendre…

Admirez le ciel bleu, c’était le lendemain de mon arrivée à Bariloche, depuis il ne me quitte plus, je sens que certains vont me tuer…

Bisous tout le monde, enfin pas tout le monde, pas à ceux qui ont envie de me tuer…

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4 réponses à J426 : arrivée à Bariloche, la ville du chocolat…

  1. Mylaine dit :

    Te tuer, pas moi, pas nous ici dans notre vallée de la guisane.
    Bisous;

  2. JANODOU dit :

    Bises à toi Françoise, je vois que tu te régales en Argentine.
    J’ai toutes les peines du monde à passer la frontière, peut-être parce que je n’ai pas envie de quitter ce généreux Venezuela.

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